Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
dimanche 21 juin 2009
437 – Vierhonderdzevenendertig
Je vous invite à déjeuner sur l'herbe. Vous me conterez fleurette. Je compterai les brins... Jusqu'à 807 après je m'arrête.