Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
jeudi 18 juin 2009
402 – Четыреста два
Ce que je propose pour fêter l'anniversaire d'Éric Chevillard, homme toutefois heureux en ménage avec ses quarante-cinq balais, c'est que nous achetions chacun subrepticement 807 exemplaires de n'importe lequel de ses livres. Comme ça, ce jour qu'il pensait marquer éventuellement d'une petite pierre triste le sera surtout d'une conséquente quoique inopinée boursouflure de son lectorat. Hi hi. Mais faudra pas lui dire, jamais, et conserver ce douloureux secret entre nous...