Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
dimanche 14 juin 2009
CCCXCII – Trecentesimum nonagesimum secundum
J'ai fermé 807 fois les yeux sur tes frasques mon coco. Mais que tu offres une rivière de diamants à une gamine, c'est le pompon ! C'est sûr, avec ce que va me rapporter le divorce, je vais pouvoir m'en acheter des pierres, elle peut se rhabiller la jeunesse.