Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
dimanche 14 juin 2009
390 – Trecentonovanta
Si tu fermes les yeux un 807e de seconde, tu pourrais bien avoir l’impression que les étoiles te font un clin d’œil.