Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mercredi 17 juin 2009
399 – Üç yüz doksan dokuz
À cause du stress, il ne lui restait que 807 cheveux sur le crâne, il en était sûr, il venait de les compter... ah, ben non, 806...