Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
jeudi 11 juin 2009
381 – Tristo osamdeset jedan
Ce que j'aimai chez elle, c'était ses taches de rousseur, mais en arrivant à la 807e j'ai arrêté, sa peau était trop douce encore.