Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mercredi 10 juin 2009
378 – Trois cent soixante-dix-huit
Cette rose a 807 pétales, et une bonne moitié de ceux que j'effeuille te sont dédiés, ma chérie.