Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
lundi 1 juin 2009
352 – Kolmesataaviisikymmentäkaksi
La Suite Anglaise n°2 en la mineur, BWV 807, pour clavecin de J.S Bach. J'ai pensé l'écouter 8'07, mais 8'07 de bonheur, c'est trop peu... alors j'ai laissé se disperser les phrases musicales sous les doigts de Gustav Leonhardt.