Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
lundi 1 juin 2009
353 – Триста педесет и три
Je l'aime bien, sa petite chanson, mais j'avoue qu'au 807e couplet j'ai un petit passage à vide...