Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mardi 2 juin 2009
354 – Tristo pedeset četiri
À la 807e page, le crime n’avait toujours pas eu lieu. Ce polar est à mourir d’ennui, dit-il, et il s’effondra. La plume de l’auteur court toujours...