Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
vendredi 2 octobre 2009
633 – Seiscientos treinta y tres
– Comment ça ? Un alcool à 807° ça n'existe pas ? Et le zveck alors ? – Le quoi ? – Le zveck ! – Connais pas... – Lis les Contes carnivores de Bernard Quiriny et tu comprendras.