Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
jeudi 15 octobre 2009
673 – Sexhundrasjuttiotre
Ce n'est pas parce qu'on a perdu 800 sets à Roland-Garros qu'il faut désespérer. L'herbe grasse du gazon de Wimbledon ne fera qu'une bouchée de votre raquette.