Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mardi 27 octobre 2009
708 – ななひゃくはち
Un type (ou une fille) qui se fait passer pour Franck Garot s'est mis en tête de lire toutes les pages 807 des bouquins qu'il aime (pas un seul de Chevillard...) et les fait partager en podcast. C'est ici : http://www.tropvasteencore.net