Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
dimanche 18 octobre 2009
681 – Sexhundraåttioett
Si je déposais au niveau mondial le concept de « Machin aime Machine » (et ses quelques timides variations, « Machine aime Machin », « Machin aime Machin », « Machine aime Machine », « Machin n'aime pas Machine », etc.), je rendrais illégale la quasi-totalité de la littérature universelle. Une fois celle-ci interdite, resteraient peut-être 807 ouvrages, dont pas mal de Chevillard.