Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mardi 20 octobre 2009
687 – Kuusisataakahdeksankymmentäseitsemän
Je sais bien que lorsqu'on aime, on ne compte pas, mais justement 807 taches de rousseurs, c'était bien trop !