Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
jeudi 22 octobre 2009
694 – Шестьсот девяносто четыре
Longtemps, j'ai rêvé que je broutais 807 brins d'herbe. Puis, un à un, je comptais les trains et je m'éveillais en beuglant.