Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
vendredi 16 octobre 2009
676 – Kuusisataaseitsemänkymmentäkuusi
On avait fait appel à des techniciens de la maintenance, des pros de la santé high-tech qui ont tenté l’impensable et fini par appliquer bêtement 807 rustines sur sa carcasse en fuite. En vain. La simplicité ne devrait pas s’apprendre : c’est aussi la vie qui fait crever la roue.