Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
lundi 26 octobre 2009
707 – Cемьсот семь
À l'heure qu'il est, le taulier de ce blog se prélasse en famille sur une plage de l'île Maurice. Et comme il est bon, et comme il aime partager son bonheur avec vous, il compte des grains de sable. Il espère arriver à 807 avant que le serveur ne revienne avec la Margarita qu'il a commandée.