Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mardi 13 octobre 2009
666 – Sechshundertsechsundsechzig
Parmi les innombrables liens qui figurent dans les Mémoires apocryphes (document exclusivement numérique, à paraître) de Chevillard, j'ai cliqué sur le 666e qui m'a renvoyé sur le site des 807 : dois-je y voir la main du Diable ?