Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard. "804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
lundi 12 octobre 2009
665 – Seicentosessantacinque
Pendant ton absence, je vais m’efforcer de continuer à ton intention ma huit cent septième lettre de troubadour musclé, se donnant à fond dans l’amour courtois. J’ignore si ça te plaira (tu es tellement difficile et surtout imprévisible pour moi), mais c’est l’intention qui compte n’est-ce pas, et rien ne t’interdit de me corriger 807 fois.