Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mardi 27 octobre 2009
710 – Syv hundrede og ti
Éric Chevillard n'a absolument rien compris. Pourquoi traîner comme un pervers dans un parc dijonnais en attendant que la joggeuse au caleçon court passe alors qu'ici, à l'île Maurice, j'en vois 807 par jour, en bikini.