Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mercredi 28 octobre 2009
712 – Yedi yüz on iki
Ah ! où sont mes 807 ans ? quand j’étais encore jeune et beau ? se dit Mathusalem le jour de son 900e anniversaire.