Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
samedi 17 octobre 2009
679 – Six cent soixante-dix-neuf
J'ai rempli 807 seaux pour arroser les brins d'herbe que j'avais comptés. Puis je me suis arrêté. J'avais transformé ma pelouse en marigot.