Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
mardi 6 octobre 2009
645 – หกร้อยสี่สิบห้า
Si je tenais celui – un connaisseur en femmes soi-disant – qui a dit : « une femme qui a un amant est un ange, une femme qui a deux amants est un monstre, et une femme qui a 807 amants est une femme »... j’aurais 2 mots à lui dire, moi.