Déclinaisons d'un aphorisme d'Éric Chevillard.
"804… 805… 806… j’avais très rigoureusement repris le compte des herbes de mon jardin en pliant celles-ci au fur et à mesure, cette fois, afin de ne pas me tromper, mais à la 807ème ortie, ma main enflée, engourdie de douleur, n’est seulement plus capable de bouger les doigts, j’abandonne."
vendredi 2 octobre 2009
635 – Six cent trente-cinq
La 807e goutte qui tombe de la clepsydre hésite un 807e de seconde de plus que les autres à perpétuer l'écoulement du temps, cette forfaiture, c'est dégouttant.